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De nos jours, la consommation prend toute une bonne partie dans le quotidien de l’homme. Ainsi, la plupart des entreprises actualisent leurs produits afin d’amener leurs clients à changer de produits. Elles font donc un recours à l’obsolescence consommée. Découvrez dans cet article ce qu’il faut retenir sur l’obsolescence programmée.
Qu’est-ce que l’obsolescence programmée ?
L’obsolescence programmée est un ensemble de techniques ayant pour objet de diminuer la durée de vie d’un produit. Ce qui permet de le remplacer plus rapidement. En effet, un produit est dit obsolète lorsque ce dernier est périmé avant son usure normale. Cliquez sur publié ici pour plus d’infos. Une loi a été votée en 2015, prohibant l’obsolescence programmée. Cette loi la définit comme l’ensemble des techniques par lesquelles un metteur sur le marché vise à réduire de façon délibérée la durée de vie pour augmenter le taux de remplacement. Cette pratique est sanctionnée par une amende de 300 000 euros et un emprisonnement de deux ans.
Les types d’obsolescence programmée
Il existe plusieurs types d’obsolescence programmée.
-L’obsolescence pour défauts fonctionnels : c’est lorsqu’un élément du produit ne fonctionne plus et que le produit devient ainsi inutilisable. Au lieu de changer l’élément défectueux, on préfère acheter un autre produit neuf moins cher.
-La péremption planifiée : Ce type d’obsolescence concerne les boissons et produits alimentaires. Ils sont donc périmés après la date affichée sur le produit.
-La péremption indirecte : On parle de péremption indirecte lorsque les parties consommables d’un produit ne sont plus disponibles. Par exemple, la batterie ou le chargeur d’un téléphone se détériore tandis que le téléphone même est toujours utilisable.
-L’obsolescence esthétique : Ici les entreprises jouent sur la communication de leurs nouveaux produits en faisant des comparaisons entre les anciens produits et les nouveaux.
Les moyens de lutte contre l’obsolescence programmée
Divers moyens permettent de lutter contre cette pratique. On a le site internet Envie qui vend des produits viables sous garantie. Il y a également le concept des repères cafés lancé en 2009 qui encourage les consommateurs à réparer au lieu de jeter.