Le cannabigérol ou CBG en abrégé est l'un des nombreux cannabinoïdes présents naturellement dans la plante de cannabis. Il fait partie de ceux qui suscitent plus la curiosité des scientifiques qui n'hésitent pas à y consacrer des séries d'études depuis le 20ème siècle. Classée deuxième molécule très plébiscitée derrière le cannabidiol (CBD), le CBG ne cesse d'intriguer les spécialistes du monde de par les nombreux mystères qu'il cache encore et qui se révèlent du jour au lendemain.
L'origine du cannabigérol ou CBG
Pour parler de la découverte du canabinoïde appelé CBG, il faut remonter le temps aux années soixante, précisément en 1964, suite à une série d'interrogations portées sur ses effets. Des études vont alors commencer pour aboutir à l'isolement du cannabigérol. Continuez à lire sur OhCBD. Il s'agit d'un premier pari gagné pour les chercheurs scientifiques, mais ce n'est qu'en 1975 que des précisions plus intéressantes vont apparaître suite à l'analyse de la molécule CBGA qui pourrait se convertir en d'autres composés. C'est justement ce qui sous-tend la présence du CBG en quantité moins suffisante dans le plant de chanvre comparativement au ratio pour les autres cannabinoïdes.
Les bienfaits du cannabigérol
Affectueusement appelé molécule mère, le CBG est un élément déterminant de plusieurs autres cannabinoïdes au sein desquels il joue un rôle chimique central. Il est très réputé pour ses multiples propriétés médicinales dont la reconnaissance est dûe aux diverses études et recherches menées à ce sujet. En effet, le cannabigérol est une molécule qui a une interaction directe avec les récepteurs CB1 et CB2 tout comme le cas chez le CBD. La différence entre ces deux cannabinoïdes dont les effets se ressemblent majoritairement est que le CBG peut subir des transformations et se convertir en tétrahydrocannabinol souvent appelé THC. Pour ce qui est de ses bienfaits, il peut traiter le cancer, les maladies neurodégénératives comme la maladie de Parkinson, l’Alzheimer... les maladies cutanées, etc.